Tout ce que tu racontes me semble être une autre planète ... D'un côté cette réactivité fait rêver, d'un autre ce côté ultra connecté / instantané fait flipper. On passe tellement vite d'une chose à une autre qu'on ne prend plus le temps d'apprécier, on ne sait plus attendre.
Ce coté instantané existait déjà dans les années 80/90. Ce qui n'était pas là, c'est le coté connecté. Je dis ça, parce que je me rappelle, de photographes (pour la plupart amateurs qui essayaient de se faire un peu d'argent) qui venaient sur des rallyes et/ou courses de cotes. Ils prenaient les photos le samedi, et les vendaient le dimanche aux pilotes/équipages. Ils devaient avoir des combines avec des labos locaux pour pouvoir avoir les tirages aussi rapidement, mais tu vois, même sans réseaux sociaux, c'était déjà la course à l'image
Le numérique et l"internet n'ont fait qu'amplifier un mouvement limité par la technologie, mais déjà présent dans les esprits.